Titre du projet : WaterEurope (Hydroinformatics for water resources and water related hazards management in Europe) Nom du porteur de projet : Université Nice Sophia Antipolis / Provence-Alpes-Côte d’Azur Secteur : enseignement supérieur Action : partenariat stratégique Durée du projet : 36 mois (du 01/09/2018 au 31/08/2021) Subvention Erasmus+ : 266 496 € Pays partenaires : Allemagne / Belgique / Espagne / Pologne / Royaume-Uni Fiche du projet sur la plateforme européenne |
L’objectif de WaterEurope était de produire des ressources pédagogiques consacrées à la résistance aux inondations et de créer un module de formation destiné aux étudiants de niveau master des établissements impliqués. Le module est composé d’une formation en ligne et d’une partie pratique pendant laquelle les étudiants réalisent une étude de cas. Par exemple, en 2018, 120 étudiants européens se sont rendus sur les berges du Var pour réfléchir aux moyens d’appréhender les crues.
Le module offre accès à une plateforme d’ingénierie collaborative sur laquelle les étudiants peuvent notamment accéder à des progiciels de modélisation. Ces outils sont mis à disposition par des entreprises et des laboratoires partenaires qui les ont développés. Inventée par le consortium, cette méthodologie pédagogique d’ingénierie collaborative a obtenu de nombreuses récompenses internationales. Aujourd’hui, elle est employée par des milliers d’ingénieurs dans le monde et par d’autres projets universitaires. C’est le cas des projets HydroAsia et HydroLatinAmerica qui l’utilisent.
Enseignement supérieurPartenariatsEnvironnement / AgricultureCompétences / Employabilité« Les résultats des recherches des partenaires sont implémentés dans la formation des jeunes ingénieurs, au sein des différents établissements. Notre idée est d’utiliser tous les outils à notre disposition pour être les plus efficaces possibles en maximisant les moyens dont nous disposons. Nous sommes, et c’est important, tous portés par une vision partagée, qui est la condition sine qua none du fonctionnement de collaborations internationales. Cette démarche nous permet de nous enrichir de la vision des autres, car la problématique de la gestion de l’eau a une forte dimension géographique, mais aussi d’agréger de nombreux partenaires – notamment des entreprises. C’est très positif ! »
Philippe Gourbesville, professeur à l’Université de Nice Sophia Antipolis